France-Espagne

  • Les photos France-Espagne, de Monteton à Madrid…

Publié le 16 juillet 2010 par J-L


  • Dragon et Dukass sont arrivés … OU … nos premières aventures en bicyclette!

Publié le 13 juillet 2010 par Claire

Vous étiez déjà au courant hier, mais voici l’annonce officielle: ouf, on a atteint Madrid…! Bon, pour les pros du vélo, c’est sans doute du petit lait, mais il faut avouer que pour nous, ça n’a pas été sans mal! Soleil de plomb et côtes à gogo étaient de la partie…

En passant, je suis sûre que tonton l’aura remarqué: c’est lui le grand vainqueur de notre « concours des meilleurs noms »…! J’entends tous les autres protester, c’est vrai que vous y aviez mis du coeur, mais il a bien fallu choisir. Et puis, les propositions de fin de soirée étaient un peu euh… foireuses? 🙂 Premier prix qui donne droit à un tour sur un vélo chargé de 20 kilos dans une montée à 23%!!!

Alors, commençons par le début… Nous avons décollé de Monteton le dimanche 27, 10h30 pile poil, le rendez-vous était donné aux journalistes, le site web de la commune suivra notre balade! Après une petite coupe de Papy, ça été bien difficile de quitter tout le monde, et nous avons dû serpenter entre les casseroles et autres assiettes en porcelaine au milieu du vide-grenier annuel, sans emmener par mégarde une vieille theière en faisant nos derniers signes de main…

Le premier jour a été facile une fois la petite boule dans la gorge passée. Ça roule tout seul au début. Nous avons mis le premier pied dans les Landes en début de soirée, et c’est sur le sable entre les pins que nous avons planté la tente… Tiens, sous un pin qui menace de tomber… Le vent se lève… Bref, il a déjà fallu déménager de trois mètres pour ne pas commencer par une mauvaise galère – futur bon souvenir! Le cassoulet que mamie nous avait glissé dans la sacoche nous a bien rempli l’estomac, et ça allégé nos vélos d’un petit kilo!!! 🙂

Deuxième jour un peu monotone dans les landes… Sauf lors de notre arrivée près de Roquefort, en voulant éviter une nationale où les camions s’en donnaient à coeur joie, nous avons essayé un bout de GR. C’était vraiment de la GRANDE randonnée, avec les premières poussées des vélos, et même le décrochage des sacoches pour pouvoir continuer… et constater que le chemin était coupé par la construction d’une nouvelle autoroute: on a fait les innocents, et hop, nous avons roulé sur la plus grande piste cyclable de France, rien que pour nous! Nous étions d’accord avec les ouvriers qui nous disaient que c’était interdit, mais il fallait bien manger le morceau, et on est arrivés tranquillement dans la ville.

Mais de quoi nous plaignions-nous en parlant de monotonie? Elle s’était toute envolée en face de notre première côte le troisième jour, par contre les grimaces ont commencé!!! On a passé le joli village de « Coudures », qui porte parfaitement son nom, et on a continué toute la journée à appuyer sur nos pédales, ou même, pour ma part, à mettre pied à terre quand « Trop, c’est trop!!! ». Heureusement, le soir, une chouette petite dame nous a ouvert sa cour pour le bivouac, et nous a abreuvé de café le lendemain avant de repartir.

Quatrième jour encore un peu plus costaud, avec une rencontre improbable d’un hollandais vendeur de vélos au croisement de deux routes au milieu de nul part, qui a remplacé mes pédales cassées (celles d’un vieux vélo de Jean-Lou, pour des questions pratiques de cale-pied, mais notre examen contrôle-qualité n’avait pas été très attentif!) en deux temps trois mouvements, et pour trois fois rien. Deux tasses de café et une chouette discussion plus tard avec lui et sa fille, et on a entamé une belle descente, hé hé, record battu, 60 km/h, Jean-Lou lui me met 10 km/h dans la vue à chaque fois!

Le cinquième jour, ça été celui de la goutte qui déborde. Un cagnard horrible où, comme dit Jean-Lou, on sue des gouttes comme des croquettes, et une erreur de parcours (le mur à 23%) nous ont fait craquer (moi un peu plus!), et on avoue, on a mis les vélos dans un bus pour les trente derniers kilomètres prévus de la journée pour rejoindre Saint-Jean-Pied-De-Port. C’est que notre entraînement n’avait pas été très rigoureux, et on avait vu un peu grand (question relief surtout!). Le lendemain, c’est la traversée des Pyrénées qui nous attendait, on a pas mal cogité, mais vu notre forme olympique, on s’est décidé à rouler le plus loin possible avant les 18 km de montée infernale (ben non, je n’ai pas une goutte de sang de Fausto Coppi dans les veines!), et on a levé le pouce… C’est d’ailleurs un challenge aussi de faire du stop avec deux vélos, et on était tout près de se dire qu’on allait devoir affronter les lacets sans fin quand un semi-remorque s’est arrêté. Un super gars nous a ouvert grand sa remorque vide, pas de problème de place ici, et nous a ammené tout en haut. En voyant tous ceux qui peinaient dans la montée, on s’est dit qu’on avait bien fait, on y aurait laissé un poumon!

Quelle descente après, you hou! A Roncevaux, nous n’avons pas affiché un sourire trop éclatant devant les grimaces de pitié de ceux qui voyaient nos vélos chargés en s’imaginant l’enfer qui avait dû être le nôtre, et 0n a continué notre route… On était un peu naïfs en pensant qu’on avait laissé toutes les côtes derrière nous, mais pour la suite on n’a pas osé rechigner, on avait quand même échappé à la pire!

Nous étions donc en pays espagnol! Nos premiers mots ont été un peu balbutiants, mais depuis on s’améliore. On a traversé Pamplune, juste avant que les fêtes ne commencent, on sentait l’agitation monter… On a essayé un bout du chemin de Saint-Jacques, une autoroute alors que la saison n’avait pas encore commencé! C’était trop difficile pour des cyclistes, on a du rejoindre la route. On a traversé toutes sortes de paysages, ils changeaient totalement tous les demis jours, des déserts de champs agricoles aux collines verdoyantes, des plaines de la vallée aux plateaux qui dominent les alentours, avec parfois des rochers colorés ou des falaises découpées en strates. On a testé des tapas parfois un peu bizarres (genre peau de poumon en sauce jaune ou oreilles de porc frites avec sauce à la seiche!), gravi des côtes pour aller chercher notre caña (pourquoi les bars sont-ils toujours en haut du village?), et on a poursuivi les cigognes, chaque clocher a la sienne.

L’art de la fête oblige, nous avons à chaque fois réussi à nous arrêter dans un village pour assister aux quarts et demi-finales, les gens de l’endroit se demandant d’où l’on sortait, avec un accueil chaleureux à la clef!

Nous avons planté notre tente dans des aires de jeux, un chantier la veille d’un dimanche, au pied d’un moulin, dans un entrepôt, bref, partout où on a pu se glisser, avec l’autorisation ou non du propriétaire. Et nous l’avons quand même franchi, notre col à 1450 mètres, à la force de nos mollets! Comme quoi, les jours passant, ça nous a paru moins inabordable! Par contre, il y a un petit vieux qui se demande toujours pourquoi je lui ai demandé si le chou était loin!!! (el col=le chou en espagnol)

Les dernières étapes ont été très sèches, on a passé des villages comme morts, avec juste une sortie de petites dames au son de cloche du poissonnier, sans un regard pour nous, à moitié déssechés sur notre pierre à l’ombre. Et nous avons essuyé une belle tempête de poussière et de vent, en avançant avec les vélos penchés pour lutter contre les rafales. C’est d’ailleurs entre les gouttes de pluie que j’ai amélioré mon score: et 1, et 2, et 3 – 0! Fuites bien sûr, comme quoi les vieilles rengaines peuvent s’adapter aux situations nouvelles! 😉

Les deux derniers jours, nous avons bien roulé, avec nos plus grosses étapes, 80 km par jour, pour nous c’était une performance. Au matin du 13è jour, avec 705 km au compteur, Madrid était en vue, et comme décidé cette fois-ci, nous avons pris le bus pour rentrer dans la ville, même une carte assez détaillée ne nous indiquait que de grosses artères, et ce n’est pas le plaisir du cycliste que de se faire dépasser à toute vitesse par les camions! Nous essaierons d’ailleurs de faire comme ça dans les grandes villes, pour autant que ça soit possible.

Nous voilà donc dans la capitale espagnole depuis 5 jours, dans un four à 38 degrés, et une chouette ambiance avec des madrilènes toujours prêts à aider… Nous avons d’ailleurs pu nous reposer dans un chouette petit appart’ d’une amie d’une amie à Jean-Lou qui avait laissé pour nous ses clefs au gardien. On a eu l’impression d’avoir un petit chez-nous pendant quelques jours, quel plaisir de cuisiner sans avoir peur que la casserole ne se renverse! Merci Alba et Nati! Et dans quelques heures, nous embarquons pour Lima, une autre aventure commence!

Les photos suivront.. A bientôt vous tous, portez-vous bien en attendant!

  • Madrid en rouge et jaune!!!

Publié le 12 juillet 2010 par Claire

Hé hé, comme le titre vous le fait deviner, nous sommes arrivés à destination!!! Mais nos aventures biciclettesques vous seront comptées demain… En attendant, quelques mots pour vous plonger dans l’ambiance madrilène, Madrid la joyeuse, Madrid la furieuse!!!

C’est que, bien peu l’auront loupé à part Renaud peut-être ;), c’était la finale de la Coupe du Monde hier! On était comme deux « aficionados », une heure avant le coup d’envoi au comptoir d’un bar, pour être sûrs d’avoir une bonne place, les yeux rivés sur l’écran. Et franchement, moi qui ne suis pas fana de foot, c’était un chouette match, il y avait toujours un truc à commenter… Et même, on a commencé à avoir des sursauts d’angoisse quand l’attaque hollandaise était dangereuse, et on a bondit comme les espagnols au goal qui nous a épargné les stressants tirs au but! Bref, si on ne nous écoutait pas, on nous aurait presque pris pour des enfants du pays, bronzage compris!

Enfin, il nous manquait quand même toute la panoplie du parfait fan: drapeau, chapeau, T-shirt, trompette et vouvouzéla, bandana, pinces dans les cheveux, bracelet, peintures en tout genre, et tout ce que l’imagination peut faire de ça!

Quand nous sommes sortis du bar après le coup de sifflet final, quelle folie! On était à côté de la « Puerta del sol », le point de rendez-vous des Madrilènes… Tout le monde affluait vers la place, il en venait de partout, de toutes les rues. La station de métro a heureusement tenu le coup, je ne sais pas combien ils étaient à bondir dessus… On a ensuite bougé vers « El Paseo », et tous ceux qui n’étaient pas sur la place envahissaient cette grande artère de Madrid, le Doudou, à côté de cette marée de gens, c’est peanuts (je ne pense pas ce que j’écris là! :)).

Bref, vous l’aurez compris, il faisait chaud à Madrid hier! Et d’ailleurs ils ont oublié de baisser la température, il fait toujours passé 38 degrés, ¡Qué calor!, on fond…

Et là, l’hélicoptère tourne depuis plus d’une heure au-dessus de l’appart’, l’équipe victorieuse a remis le pied dans son pays, et leur bus sillonne la capitale…

On dirait que le foot mobilise bien plus les foules que la crise…! Aïe!

  • A la veille du vrai départ…

Publié le 26 juin 2010 par Claire

Et oui, on a trouvé mille trucs pour reculer le vrai départ, des fêtes à répétition, un voyage en train, un arrêt à Monteton pour déjà se reposer, mais cette fois, ça y est, plus moyen de reculer, le vrai départ c’est demain!

Pourtant on a bien cru qu’on n’y arriverait pas à Monteton! C’était (encore!?) jour de grève pour la SNCF. Arrivés à Lille, pas de train pour Bordeaux sur la panneau d’affichage… Il était annulé! Vite, nous avons embarqué dans le train pour Paris, vite, nous avons remonté nos vélos dans le wagon (pas facile à 300 km/heure!), vite nous avons essayé de rejoindre Paris Montparnasse en métro… Ben oui, je traînais un peu la patte à l’idée de traverser tout Paris avec des vélos chargés et mal équilibrés (nous n’avions pas prévu cette balade), sans connaître le chemin, sous un soleil de plomb, avec un train à prendre.

Mais pas moyen de glisser nos vélos dans le métro, nous n’avions plus le choix, et après avoir acheté une carte de Paris, c’est parti pour nos premiers coups de pédale! Et évidemment, comme quelques-uns nous l’avait déjà prédit (vous auriez peut-être pu attendre mais bon), les galères se transforment vite en bons souvenirs, et c’était vraiment chouette de traverser le Louvre, chercher son chemin avec la tour Eiffel en point de mire, faire vibrer les planches du pont des Arts. Bref, on s’est bien marrés, et on a attrapé notre train!

Le contrôleur mal luné a failli bien nous emm… avec nos vélos pas démontés dans le sas (eh, l’emballage était resté à Lilles!): « C’est 45€ à chaque passage tant qu’ils ne sont pas démontés, et si au prochain arrêt ils sont encore là, le train ne démarre pas tant que vous n’êtes pas sur le quai…!« , mais les autres passagers (dont un connaissait bien Monteton, faut le faire!) nous ont bien aidés, on s’y est tous mis pour faire ce que voulait « Monsieur 45 à chaque passage« …

Et nous voilà donc à Monteton-La-Tranquille, le sourire de Jean-Baptiste et les grands signes de Papy et Mamy nous ont accueillis à l’arrivée, et depuis, nous en sommes, facile, au 12è apéro en 2 jours!

A bientôt vous tous, du côté de Madrid on l’espère, le cagnard qui règne ici ne va pas nous aider, mais le souvenir des apéros rafraîchissants nous fera avancer!

  • Première étape

24 juin: Mons – Monteton en train

Et c’est aussi l’anniversaire de Jean-Lou, un an de voyage, c’est un beau cadeau!!!

  • Deuxième étape

27 juin: Monteton – Madrid en vélo –> 700 km prévus en 2 semaines

On doit attraper l’avion pour Lima le 13 juillet!

13 commentaires pour France-Espagne

  1. fabien dit :

    Avons dépassé le 13eme apéros…Attention, le bouchon a pêté chez les voisins !!! sauf Virg et les petites cousines qui terminent leurs 13eme bouteilles de jus de fraise…Sommes également pret pour lancer le barbeq’. La cousine Lydie est bien sûr de la partie…elle est encore debout…pour le moment! heureusement, elle loge sur place. Chaque jour nous expliquons aux petites cousines l’exploit de la grande. Nous vous embrassons tous les 2, de la part de nouis tous ici présents et à venir.

  2. Sarah dit :

    Je regrette de n’avoir pas pu venir à votre fête de départ… mais je suivrai vos aventures de près! C’est toujours un plaisir que de lire ces récits. J’aurai régulièrement une pensée pour vos mollets 🙂 Bon voyage!!

  3. Christelle dit :

    Hello le poulet et la poulette !
    Oh mon Dieu, OH mon Dieu, OH MON DIEU que ça fait plaisir de voir Marraine Yvonne et le doux Geo, que de souvenirs remontent en une fois et que de bonheur de vous imaginer là-bas ! Notez que là vous devez plutôt être déjà repartis (avec du pastis plein la gourde ???) …
    Je peux pas le croire que quelqu’un dans le train connaissait Monteton… Incroyable !!!
    Par contre j’ai bien ri en vous imaginant à Paris 😀 Je connaissais Paris en vélib’, mais pas Paris en véloprêtpourletourdumondeetsuperchargé !!!!
    J’espère avoir vite des nouvelles de votre périple dans le(s) pays des merveilles mes Alices!
    Bonne route sous le soleil !!!

  4. swa dit :

    bon vélo sous les ciel de plomb espagnol, y aura sûrement moyen de continuer à prendre des apéros avec les ibères du coin, no se preocupan ! Oscar vous encourage à sa manière: adadaaa ! :p

  5. Agnès dit :

    ça au moins, c’est un départ de voyage!
    ça ne serait pas drôle si tout s’était passé comme prévu ;o))
    J’aurais quand même aimé vous voir remonter vos vélos (ah, ils étaient si bien emballés, sur le quai de la gare de Mons…) et faire la « traversée de Paris », carte sur le guidon et sacoches de tous les côtés.
    J’espère que le premier galop d’entraînement jusque Madrid se passe bien et sans insolations. Allez, prenez exemple, le papa de Laura a fait 254 km et 5 cols (pour un total de 5000m de dénivellé) en 15 heures d’affilée, sur les traces de Fausto Coppi, pour une étape du tour d’Italie ;o)))
    Gros bisous à vous deux et à vos bécanes (qui s’appellent comment, alors?)

  6. bernard dit :

    Bonjour les fous du vélo,

    J’espérais trouver une photo ou un commentaire pour transmettre aux Montetonais!
    Avez vous bien passé « Le poteau »?
    Aurez vous votre avion à Madrid?
    Bonne continuation

    • Ha ha, le poteau! J’ai gardé un oeil sur Jean-Lou pendant la traversée!!! 🙂 Et nous avons eu notre avion, ca a été un peu folklo, mais … la suite dans le prochain épisode!
      On va essayer de poster des photos aujourd’hui, les Montetonais auront quelque chose à se mettre sous la dent!
      Merci pour le petit mot, à bientôt!

  7. Emilie dit :

    Hello vous deux!

    Em’, une collègue d’Agnès ici… 🙂
    Ce midi, le Tour de France passait près de Nivelles…. nous avons tenté d’aller voir les cyclistes sur le temps de midi… Sans succès, ces fainéants 😉 ne sont pas arrivés à temps et nous avons dû rentrer travailler sans avoir pu les apercevoir….
    Heureusement que la soeurette assure la relève avec son chéri!
    Quel plaisir de lire vos récits ou d’écouter Agnès rapporter les dernières nouvelles des étoiles plein les yeux…
    On vous admire vraiment… On vous envie souvent…
    Profitez de tous ces instants magiques et sachez qu’il y a vraiment pas mal de monde derrière vous à chaque coup de pédale!
    Bonne route!
    Emilie

  8. Mel dit :

    Hola amigos,
    Tous les ingrédients sont réunis pour faire honneur à votre passage dans cette superbe aventure !! Fallait bien entendu que l’Espagne devienne champion du monde avant de vous retrouver en Amérique Latine pour faire une dernière fiesta européenne !
    On vous embrasse très très fort !!!
    Mel, JB et Bidonnette

    • Hé ouais, ca c’est l’art d’attirer la fête (on était épatés pas notre bol faut avouer!)!!! Gros bisous à vous trois, tu sais que Jean-Lou le distrait avait oublié de m’annoncer la bonne nouvelle!!! Milles félicitations, et portez-vous bien!

  9. Benja dit :

    Hoho !!
    Quelle aventure!
    C’est génial, en lisant tout ça, j’ai l’impression d’y être … même si je me rends bien compte que je ne pourrai jamais ne serait-ce qu’imaginer les efforts physiques que vous faites 😉
    Peinard, dans mon canapé, je voyage … le sud de la france où ils parlent leur espèce de langue bizarre entre le catalan et le français … puis la descente jusqu’à madrid !
    Waou ! Trop chouette!!
    Envie de voir la suite !!! Envie de lire la suite !!!
    J’espère que tout va bien pour vous là en ce moment … que les vols se sont bien goupillés et tout et tout !
    Grosses bises !
    A fond les pédales 😉

    benja

    • Coucou Benjamin, comment va?
      Ouep, tous les vols se sont bien goupillés, on va raconter les détails sous peu… Et là, après deux semaines de tourisme au Pérou, on reprend les vélos demain, direction le lac Titicaca! J’espère qu’on retrouvera notre souffle, parce qu’à Cuzco, si on court un peu vite dans les escaliers, j’ai le coeur qui bat la chamade!
      Bises, bel été!

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